En marge de ...

En margde de nos randonnées

 

La Saga Pégase

 

La longue vie de PEGASE a été jalonnée d'anniversaires importants à l'occasion desquels l'histoire du Cercle fut maintes fois évoquée.

Ainsi lors des 75e et 80e anniversaires, Albert REYNAERTS, alors président en exercice, nous a transmis cette histoire de façon fort détaillée ; en accord avec lui, je vous en livre de larges extraits et me permettrai de les compléter pour la période plus récente.

La préhistoire 1906-1918 - PEGASE est créé par une quarantaine de cyclistes dominicaux, habitués des sorties du Touring Club, lequel a commencé à se désintéresser du cyclisme dès 1903. A la Pentecôte 1906 a lieu le premier voyage collectif : Walcheren, 3 jours pour 4,50 F. La cotisation est fixée à 1,20 F.
De 1907 à 1914, le Touring organise à nouveau des sorties ; dès lors PEGASE se cantonne dans la mise sur pied de voyages de deux jours, d'une section de campeurs, de réunions hivernales, de banquets et aussi de représentations dramatiques. La première grande représentation, suivie de bal eut lieu à la Brasserie Flamande le 27 novembre 1909.

1914-1918 - L'occupant interdit bientôt les sorties à vélo ; PEGASE survit grâce à ses autres activités mais aussi aux premières sorties pédestres, surtout en Forêt de Soignes.

L'histoire - de 1919 à 1929 - On sort à vélo tous les dimanches de mars à novembre et il y a quelques sorties pédestres en hiver. Le Cercle acquiert des tentes et les met en location au prix de 2 F par jour. Les voyages de deux jours (Pâques, Pentecôte) coûtent cher : 30 F en 1922, 43 F en 1927 et 55 F en 1928. Une section d'épargne permet de se les offrir plus facilement de même que les banquets annuels.
La cotisation passe à 3 F en 1921, mais il faut y ajouter 3 F d'entrée. Ces montants deviennent 6 F en 1923 et le port de l'insigne - 3,50 F - est rendu obligatoire. En 1928 on est à 9 F, ce qui avec le droit d'entrée ramené à 5 F et l'insigne de 3,75 F représente une dépense de 17,75 F pour le nouveau membre.
Le bulletin, mensuel à partir de 1922, est imprimé en format réduit sur une seule face. Dès 1923, il occupe les deux faces, ce qui ne fait pas encore beaucoup de texte. On se contente d'annoncer le programme. Les excursions dominicales vont de 60 à 80 km, ce qui avec les vélos et les pavés de l'époque n'était pas peu de choses.
A partir de 1925, le Cercle se rapproche du Touring Club, qui daigne à nouveau se souvenir de ses origines cyclistes, et il rappelle en tête du bulletin qu'il est membre permanent de la grande association de tourisme, tandis que celle-ci publie le programme de PEGASE.
Les concerts de carillon attirent la foule tous les lundis soir d'été à Malines. On s'y rend donc, en groupe et à vélo bien sûr. Cependant, dans le courant de 1928, le succès des excursions diminue. On crée un concours d'assiduité mais malgré les efforts du comité qui institue une caisse de voyages, une autre de réjouissance, un rallye-ballon - départ place Sainctelette le 20 octobre 1929 - le nombre de prati-quants ne cesse de diminuer et début 1930, le Cercle ne compte plus que 150 affiliés.
En juin 1929, le local "A la Cour Royale", rue de la Montagne, qu'on occupait depuis les origines, est abandonné pour "La Maison des Artistes" à la Grand'Place.

De 1930 à 1939 - On est entré dans la grande crise économique, tout le monde se serre la ceinture, mais il faut tenir bon. Les principaux artisans du redressement sont Charles 'T Seyen, secrétaire de 1927 à 1940 et Albert Demol, chef-pilote depuis 1929.
Dès 1931, PEGASE a reçu le titre de Société Royale.
De janvier 1931 à juin 1932, le bulletin est stencilé et distribué à raison de 2 exemplaires par membre. La cotisation passe à 12 F, mais le droit d'entrée et le port obligatoire de l'insigne sont supprimés. Le nombre de membres augmente assez rapidement.
Richard De Bock organise un voyage de 10 jours dans l'Eifel, avec 11 participants. C'est le début d'une nouvelle tradition.
L'année 1932 est marquée par l'institution des sorties à vélo le samedi après-midi car la semaine anglaise gagne du terrain. A partir de juillet, le bulletin, toujours de format réduit, est à nouveau imprimé, grâce à la publicité. Ce n'est qu'en 1937 que notre périodique prendra un nouveau format.
La nouvelle vogue du vélo s'affirme. Le 26 février 1933, Charles 'T Seyen organise dans les locaux du Touring Club le premier Congrès national du Cyclotourisme et, en 1935, il apporte le poids des 350 membres de PEGASE à la création de la Fédération Belge de Cyclotourisme dont notre Cercle est toujours membre associé. Georges Mathieu lance le premier concours de photos et l'été voit des excursions pédestres le jeudi soir; elles se terminent souvent devant une demi-gueuze. Deux voyages ont lieu, l'un au Grand-Duché à l'hôtel, l'autre dans les Dolomites en camping.
En 1934, on parvient encore à voyager deux jours pour 24,75 F. L'habitude des sorties pédestres dominicales tend à se réinstaller durant l'hiver 34-35. On se retrouve aussi au local pour jouer au ping-pong, au billard ou au whist. Marcel Mansy crée une section basket-ball. Une kermesse aux boudins à Dilbeek coûte 3 F; les salaires sont bas.
Parmi les innovations de 1935, citons un rendez-vous fixe tout l'hiver pour les cyclistes tandis que ceux qui préfèrent la marche disposent d'excursions organisées ; on maintient même quelques sorties pédestres en été, mais limitées au dimanche après-midi. Le banquet du 15 décembre Aux Acacias, coûte 22 F.
Le Touring Club, qui considère visiblement les cyclotouristes comme des enfants pauvres, tout en voulant conserver son emprise sur eux, est abandonné et, dès 1936, le bulletin ne mentionne plus la qualité de membre permanent, mais bien celle d'affilié à la F.B.C.

Jusqu'à la mobilisation de 1939, c'est le grand essor du cyclotourisme : concentra-tions nationales, expositions, congrès ne font que soutenir les nombreuses excur-sions organisées par le Cercle.
On recrute beaucoup de jeunes, représentés au Comité par Albert Reynaerts et Robert Porta, les moins de 30 ans sont en majorité. Bientôt, il faut dédoubler les sorties du dimanche en ''standard" pour les promeneurs et randonnées pour les plus forts. Le comité crée un brevet dit de régularité et Alphonse Lhoiest, le crack de l'époque, parcourt 200 km à 18 km/heure.
La vie devient plus facile malgré la déflation. Une section de natation surgit et on banquette trois fois fin 1936 pour 12 F à Lembeek-N.-D. et à Malines et pour 20 F au local. Cependant, à l'Assomption 1937 un voyage de deux jours dans les cantons de l'Est coûte 80 F.
A partir de novembre 1937, le magazine - c'est ainsi qu'on l'appelle désormais - paraît sur six pages et comporte chaque mois un éditorial et des articles.
Le 20 février 1937 a lieu la première pédestre officielle en Fagnes sous la conduite de Richard De Bock. Encore une tradition qui ne sera plus abandonnée. La section camping, très florissante, dispose de trois terrains permanents, à Gaillemarde, à Ronquières et à Chaumont-Gistoux.
Mais voilà septembre 1939. Le Cercle compte 53 mobilisés et l'armée réquisitionne 20.000 vélos. Les excursions supprimées en octobre reprennent en novembre, tandis qu'on envoie des colis aux mobilisés. Il y a même un voyage à Pâques 1940 dont coût 35 F. Quant à celui projeté pour la Pentecôte, inutile de dire qu'il n'eut pas lieu.

La guerre 40-45 - Le dernier magazine imprimé sera celui de mai 40; ensuite, de périodicité incertaine, il ne paraîtra que lorsque l'imprimeur en reçoit l'autorisation de l'occupant, nécessaire pour obtenir du papier. Entre-temps, on se contente d'une feuille stencilée et cela suffit pour que les mordus se retrouvent pour rouler, marcher ou même camper, ce qui est interdit. Cependant il faut supprimer les séances du premier lundi du mois, tant à cause de l'occultation que des difficultés de transport, mais en 1942, on les remplace par des réunions le dimanche après-midi. Il faut dire que le local a émigré en 1939 à la Taverne Bass, rue des Chartreux, pour être transféré successivement Au Cornet, Marché aux Fromages en avril 1941 et Aux Négociants, rue de la Fourche en octobre de la même année. On trouve enfin un support solide à l'Elberg Bourse en 1943. Devenu plus tard Le Piedboeuf, puis le Jupiler Bourse, c'est là que, jusqu'en 1959, nous nous sommes retrouvés le plus longtemps.
Le Cercle recense 10 prisonniers non rentrés et ne compte plus que 200 cotisants. Les pneus ne sont plus remplaçables, quant aux godasses … Néanmoins, on maintient toute l'activité compatible avec cette triste époque. Un groupe important se retrouve le dimanche au terrain de Gaillemarde, bien caché et propice aux jeux des petits nés des nombreux mariages Pégase puis à Rhode-Saint-Genèse pour se livrer à d'interminables parties de volley-ball ou de deck-tennis. Les vélos et tandems, avec remorque improvisée s'il le faut, nous y conduisent par des chemins tranquilles. En mai 1944, le bulletin stencilé annonce la suppression des séances mensuelles, les déplacements en tram devenant trop aléatoires; on se contentera d'une réunion dominicale à l'entrée du Bois pour de courtes excursions.
Le 25 septembre 1944, la revue paraît sur deux pages et, depuis février 1945, elle n'a plus cessé de nous apporter chaque mois les nouvelles du Cercle. On s'est débrouillé pour obtenir des pneus, encore rationnés, et la saison cycliste se déroule normalement. Dans la liberté retrouvée, on ne veut perdre aucune occasion de se rencontrer et, s'il reste de novembre à mars un rendez-vous cycliste pour les irréductibles, on voit se développer une section pédestre d'hiver. Le 23 février 1947, tout le monde participe au premier marathon organisé par Joseph Mierop et Albert Reynaerts (place de l'Yser à Humbeek et retour); un autre, en 1949, ira de Uccle à Hal avec retour à Forest; il comporte un supplément facultatif de 10 km !
Fin 1948, le Cercle se constitue en A.S.B.L. et un Conseil de trois membres est chargé de la gestion. La cotisation passe à 40 F. Ce conseil travaille en liaison intime avec un comité exécutif renouvelable annuellement et qui se charge en fait de toutes les tâches d'administration et d'organisation, avec la participation des pilotes, bien entendu.
Le 29 mai 1949, PEGASE participe à l'inauguration du sentier cyclotouristique Bruxelles-Namur qui a été entièrement reconnu et fléché par une équipe du Cercle. La même année, un banquet de langoustes et de marcassin nous coûte 66 F; à la Pentecôte trois voyages cyclistes ont lieu; l'un en Condroz pour 150 F, à Boulogne pour 250 F et en camping à Ben-Ahin pour rien.

De 1950 à 1980 - Tandis que la cotisation passe à 50 F et que Robert Porta met à la disposition des plus jeunes la "cave" de la rue Potagère où l'on s'amuse follement, Marcel Mansy organise la première fête champêtre à Huizingen.

Robert Porta se convertit lentement mais sûrement au pédestre. La première excur-sion de 25 km qu'il pilote a lieu le 17 mai 1953. A partir de 1957, il y a une sortie pédestre chaque dimanche. Le vélo décline, mais certains refusent d'abandonner et de 1964 à 1974, Jacques Peeters maintiendra presque seul le flambeau en étant présent au rendez-vous tous les dimanches de l'année, hiver comme été.

Vers 1967, on parle beaucoup de la renaissance du vélo, mais cela reste bien timide, tandis que les pédestres connaissent une petite crise consécutive à une croissance qui mélange randonneurs de choc et promeneurs bien à l'aise. L'équilibre est rétabli par un dédoublement permanent des excursions dominicales.

Dès novembre 1971, Jo Deraedt pilote des sorties le samedi après-midi en Forêt de Soignes, lui succéderont Paul Vandenberg, Augustin Moyson et Raymond Grollet. C'est le 19 mars 1975 que Marcel Fauville mène la première sortie du mercredi; il sera suivi par Félix Vanderhulpen.

La section cycliste reprend quelque vigueur à partir de 1968 et en 1976 se constitue un nouveau groupe grâce au retour d'un ancien Pol Broier. Par le chemin de fer ou l'auto, nos cyclos amènent leurs machines vers les petites routes à l'abri de la grande circulation. En 1978, ils prennent des vacances cyclistes collectives en Angleterre.
Pour se convaincre de la bonne santé du Cercle, il suffit de voir la progression des effectifs : de 250 à la fin 1970, on passe à 350 en 1972 et à 520 en 1973. Entre-temps, la cotisation est passée à 100 F pour s'envoler en 1976 à 150 F et à 200 F en 1977.

En 1974, PEGASE s'affilie à la naissante Fédération des Marches populaires, mais la quitte en 1979, car il n'y a pas trouvé ce qu'il en espérait, à savoir la défense sur le terrain du sport pédestre, mais seulement une réglementation interne de plus en plus contraignante des marches dites sportives. Cela n'empêchera nullement de sympa-thiques membres de prendre part aux grands rassemblements que sont la Marche du Souvenir, la Marche de l'Yser, et celle des Trois frontières au lac de Constance. Pour conserver les avantages de l'assurance groupe, le Cercle met alors sur pied avec quelques clubs bruxellois une "Entente des clubs brabançons de marche".
Les marathons annuels restent à l'ordre du jour, les pilotages par plusieurs de nos pilotes chevronnés, seront ensuite confiés à Jo Steiger, puis à André Lambert. En 1979, partis de Tirlemont et voulant fêter le millénaire de Bruxelles, les marathoniens firent leur entrée sur la Grand'Place précédés d'une escorte de police, avant d'être reçus à l'Hôtel de Ville.

De 1980 vers l'an 2000 - Les cyclos se retrouvent en bonne forme et fêtent en 1985 leur 10 ans de relance. Chaque année, ils se retrouvent pour un voyage ou des week-ends tandis que Pol Broier prévoit à partir de 1986 une sortie chaque jeudi après-midi.
Du côté des marcheurs, les randonnées à thème font recette et Robert Porta - toujours lui - nous emmène explorer la France pédestre avec grand succès. Lui succéderont dans l'organisation de ces voyages Monique et André Pauwels, Maguy Gosuin, Pierre Volkaerts et Luc Vandermeiren, ces derniers nous faisant découvrir les plaisirs de la marche non seulement en France mais également au Danemark, en Autriche, en Allemagne ou en Grande-Bretagne. Tous ces voyages coûtent désor-mais entre 15 et 18.000 F; un week-end à Paris en 1993 : 6.000 F.

Aux fêtes champêtres se sont substituées des "concentrations" avec comme but la réunion des diverses sections car depuis 1982, un groupe "Jeunes" a été constitué à l'initiative de Martine Moyson et d'Yves Conrad qui, en 1988 passera sous l'égide de Bernard Boigelot, Martine s'étant proposée de former un nouveau groupe, "Rando+" de type plus sportif.
Après l'immense succès du bal costumé du 70e anniversaire, on remet çà en 1981, mais l'ère des bals semble se clôturer et durant quelques années, c'est un thé dansant au Falstaff qui réunira les fanas de la danse.
Les visites culturelles s'intensifient et sont organisées avec talent par Jos et Jeannine Gallet. Elles ont lieu en semaine une fois par mois avec la collaboration de membres spécialistes comme Marie-LouiseVerboven ou Fernand Lequeux.
Autre façon de fêter nos anniversaires : pour le 75e, deux journées de marche sont organisées, l'une de 33 et l'autre de 42 km qui nous mèneront de Namur via Gembloux à Bruxelles et pour le 80e se seront 38 + 42 km qui seront parcourus de Diest via Louvain à Bruxelles.

Les sorties du mercredi connaissent de plus en plus de succès au point qu'elles seront dédoublées en 1990 et élargies à une troisième sortie de 25 km dès 1994; plusieurs bénévoles se sont mis au pilotage et ont permis cette triple activité du mercredi qui réunit occasionnellement plus de 100 participants.
Le groupe des Jeunes et Rando+ se développent harmonieusement et eux aussi se lancent dans l'organisation de week-ends et de voyages itinérants, sac au dos. Ils éditent désormais une feuille d'information propre mais, dans la mesure du possible, leur programme continue d'être publié dans la revue.
Répondant à certaines demandes, des promenades pédestres sont organisées le dimanche après-midi mais cette initiative n'a pu être poursuivie faute de participants et/ou de pilotes.
Après différents déménagements, nous retrouvons notre local du Jupiler Bourse, Marché aux Poulets, mais en 1987 c'est au 't Kapiteintje, rue Sainte-Catherine, que nous nous réunirons désormais.
En mars 1985, la revue change de format en passant de la typographie à la reproduction par photocopie. Cela a permis une réduction substantielle des frais d'édition, tout comme l'informatisation du fichier d'adresses a facilité l'administration des 685 membres que compte le Cercle. Entre-temps, la cotisation annuelle est passée à 400 F en 1996 et à 450 F en 1997.

Le XXIe siècle - A l'aube de ce nouveau siècle, Pégase est toujours présent avec ses 671 membres et poursuit inlassablement ses activités devenues très nombreu-ses. Le jubilé du 100e anniversaire pointe à l'horizon.
Un nouveau local héberge nos réunions mensuelles : l'Auberge de Jeunesse Jacques Brel, Place des Barricades. Polyrando et Rando+ ont leur site Internet, plus récemment c'est le samedi qui s'installe sur la toile de même que nos activités générales qui y sont également annoncées. Avec l'aide d'un spécialiste, notre Trésorier se lance dans l'informatisation de la comptabilité et la tenue du listing des membres.
Autre nouveauté, l'introduction de l'euro qui fait convertir notre cotisation à € 11,16; elle passera à € 12 en 2002.
Fin 2004, nos statuts - qui n'avaient subi qu'une adaptation mineure depuis leur origine - sont mis en concordance avec la nouvelle loi sur les A.S.B.L.
Jos Gallet, Paul Segaert et tout récemment, Micheline Broier, digne fille de son père, se succèdent chez les cyclistes tandis que Luc Vandermeiren et Jean Opdebeeck assistés par les pilotes, s'ingénient à satisfaire les marcheurs. Quant aux plus jeunes, leurs sections respectives grandissent et des prémices font espérer que parmi eux se trouveront les prochains responsables du Cercle.

Comme le faisait ressortir M. Reynaerts, "c'est grâce au dévouement désintéressé des membres des Comités qui se sont succédé depuis sa création que Pégase, avec l'appui indispensable de ses pilotes, doit cette longue vie. C'est aussi l'amitié mûrie longuement et partagée par tous les comitards qui en est le ciment. On peut en être fier, car il n'est pas courant de rencontrer une telle constance dans l'apport d'une telle somme de travail. D'aucuns parlent d'un miracle PEGASE."

Nous sommes là pour lui donner raison.

Lucette VANDERMEIREN,
présidente


HOMMAGE

Quelques noms ont été cités dans cette "saga"; il est malheureusement impossible de nommer tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, ont contribué à cette belle histoire de PEGASE. Qu'ils trouvent ici l'expression de la reconnaissance et des remerciements de tous les "Pégaseux".
Il m'a paru cependant intéressant de rappeler le nom de quelques uns de ces dévoués dont j'ai retrouvé la trace.

Fondateur : Groenveld, délégué général du TCB

Présidents Présidents d'honneur
Zachman 1906-1914 Groenveld 1906-1926
… Van Wassenhoven 1928-1934
Lhoest 1931-1932 Lhoest 1954-1977
Baudot 1933 Reynaerts 1997
Ponchaut 1937
Dekoster 1938
Lhoest 1942
De Bock 1954
Reynaerts 1974
Mme Vandermeiren 1997

Secrétaires Trésoriers
Bindels 1906 Van Wassenhove 1906
Cremer 1910 Lebon 1914
Van Bol 1911 Stock 1922
Desmedt 1921 Mathieu 1964
't Seyen 1927 Van Meurs 1974
Delforge 1941 Mme Vandermeiren 1987
Porta 1946 Nootens 1997
Mayné 1953
Caby 1954
Creten 1956
Delmelle 1957
Goisse 1958
Delmelle 1959
Caby 1967
Van Meurs 1970
Mme Vandermeiren 1974
Grollet 1995
Nootens 1997

Vers le Haut

 

Il est toujours préférable de contacter le pilote pour prévenir de votre présence et être averti de tout changement éventuel de dernière minute. Dans la mesure du possible et sauf indication préalable du pilote, merci de monter dans la voiture de tête en cas de déplacement en train. Cela permettra à ceux qui montent en cours de trajet de nous retrouver facilement.

Prévoir pique-nique et boisson(s) lors des randonnées d'une journée. Les chiens ne sont pas admis. (Les grossiers personnages non plus !)

Vous désirez venir nous rejoindre afin de découvrir avec nous les beaux chemins, sentiers et voies de notre beau pays ? Pas de problème, la première participation aux randonnées du Cercle Pégase ne nécessite aucune cotisation préalable à notre club de marches. N’hésitez pas, venez nous rejoindre pour une randonnée pédestre ou à vélo et voyez si cela vous plaît et pourquoi pas, revenez régulièrement à nos marches.

Le Cercle Pégase asbl existe grâce à la participation d'organisateurs bénévoles dont la responsabilité ne peut en aucun cas être mise en cause. Chacun participe aux activités à ses propres risques.